dimanche 16 décembre 2012

les ïles Andaman, un territoire en marge de la mondialisation

Les Jarawa

menacés par l'organisation de safaris humains
Les Jarawa ont refusé tout contact avec le monde extérieur jusqu’en 1998. Ils font face aujourd’hui à de sérieuses menaces. Les braconniers et les touristes envahissent leurs forêts et les autorités locales ne respectent toujours pas l’ordre de la Cour suprême indienne de fermer la route qui traverse la réserve de la tribu.
En 1999 et en 2006, les Jarawa ont été touchés par une épidémie de rougeole – une maladie qui a anéanti plusieurs peuples suite à leur premier contact avec le monde extérieur.(source ONG  http://www.survivalfrance.org/peuples/jarawa



On pense que les ancêtres des Jarawa et des autres tribus des îles Andaman ont fait partie des premières migrations humaines parties d’Afrique. Plusieurs centaines de milliers de colons indiens vivent maintenant sur ces îles, dépassant largement en nombre les tribus indigènes.

Comment vivent-ils ?

Les Jarawa chassent le cochon sauvage et le varan, pêchent à l’aide d’arcs et de flèches et collectent des graines, des baies et du miel. Ils sont nomades et vivent en groupes de 40 à 50 personnes. C’est en 1998 que des Jarawa ont, pour la première fois, commencé à sortir de la forêt pour visiter les villes et les villages voisins.

A quels problèmes sont-ils confrontés ?

La principale menace qui pèse sur les Jarawa est l’invasion de leur territoire qui a commencé dans les années 1970 avec la construction d’une grande route traversant leur forêt. La route amène des colons, des braconniers et des bûcherons au cœur même de leur territoire.
Cette invasion expose les Jarawa à des maladies contre lesquelles ils ne sont pas immunisés et créé une dépendance vis-vis du monde extérieur. Les braconniers dérobent le gibier dont les Jarawa dépendent et il est rapporté de nombreux cas d’exploitation sexuelle de femmes jarawa.
Le tourisme représente également une menace pour les Jarawa. Des tour-opérateurs conduisent chaque jour des touristes le long de la route qui traverse la réserve dans l’espoir de rencontrer des membres de la tribu. Malgré l’interdiction, des touristes s’arrêtent régulièrement pour établir un contact avec les Jarawa. Un luxueux complexe touristique a été ouvert près de la réserve des Jarawa par la compagnie de voyages indienne Barefoot exposant la tribu à davantage de contacts avec le monde extérieur.

vendredi 14 décembre 2012

pour compléter vos cours, le cned vous propose l'académie en ligne

c'est valable pour votre matière préférée l'histoire géographie mais aussi l'espagnol, les SES, les maths, l'économie approfondie...

bon travail

http://www.academie-en-ligne.fr/Lycee/Ressources.aspx?PREFIXE=AL7HG00&CLASSE=Terminale%20ES

mercredi 12 décembre 2012

dr CAC le FMI


Dr CAC : G20


docteur CAC : la banque mondiale


Dr CAC - 102 - à quoi sert la Banque mondiale ? par drcac

mercredi 5 décembre 2012

la guerre en Irak : unilatéralisme

voir site des élèves en 2003 :http://membres.multimania.fr/guerrenirak2003/

CF courrier des lecteurs ci-dessous :



mercredi 28 novembre 2012

mardi 20 novembre 2012

article de rue 89 à propos de Gaza et Israël


Rue89« Au Proche-Orient, les cimetières sont peuplés d’optimistes »



Ce mardi matin, alors que les opérations militaires se faisaient plus rares et que les négociations de coulisses tentaient d’amener une trêve à Gaza, le journaliste Charles Enderlin tempérait les espoirs d’un simple « tweet » :
« Au Proche-Orient, les cimetières sont peuplés d’optimistes. »
Remarque cynique d’un vieux routier de la région, auteur de plusieurs livres sur les « occasions manquées » de la paix, ou coup de déprime alors que les armes, une fois de plus, parlent le plus fort ?

Bombardement israélien à Gaza, les onze membres de la famille El Dalo tués, le 18 novembre 2012 (Wartner/20 minutes/SIPA)
Le paysage du Proche-Orient semble bien désespéré en cet automne sanglant, au-delà même de la guerre qui oppose depuis une semaine Israël et le Hamas palestinien. Qu’on en juge :
  • en Syrie, on compte déjà plus de 40 000 morts en dix-huit mois de soulèvement et, malgré l’unification récente de l’opposition éclatée au régime de Bachar el-Assad, le conflit n’est pas près de s’achever ;
  • le Liban vacille sous l’effet, habituel, des soubresauts de ses voisins, et la voiture piégée qui a récemment tué en plein Beyrouth le chef de la sécurité, le général Wissam el-Hassan, fait ressurgir la crainte de la violence ;
  • Israël s’apprête à voter, dans des élections anticipées en janvier, pour une liste commune du Likoud de Benyamin Netanyahou et de l’extrême droite d’Avigdor Lieberman, une alliance qui condamne par avance les moindres chances d’avancées sur la question palestinienne ;
  • les Palestiniens sont toujours partagés entre une Cisjordanie, dirigée par l’Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas, affaiblie, impuissante et discréditée, et une bande de Gaza fermement aux mains des islamistes du Hamas, déboussolé par le clivage chiites-sunnites qui l’a fait passer de Damas au Qatar, et pour l’instant sans autre stratégie que militaire face à Israël.
Cette guerre pré-électorale oppose deux ennemis de la paix, pour des raisons opposées.

1 La stratégie d’Israël


Une immense majorité d’Israéliens soutient l’opération « Pilier de défense » lancée par le gouvernement contre les lanceurs de roquettes de Gaza qui sèment la peur, et parfois la mort, dans une partie de plus en plus grande du territoire israélien.
Certains, comme Gilad Sharon, le fils de l’ancien premier ministre Ariel Sharon, vont même plus loin en appelant carrément à réduire la bande de Gaza en poussière, faisant le parallèle avec Hiroshima et Nagasaki frappés par les bombes atomiques américaines pour amener le Japon à se rendre...
Les opposants à la guerre n’étaient que quelques centaines à manifester dimanche en Israël, et la voix des partisans de la paix a rarement été aussi marginalisée.

Soutien d’Obama et politique du fait accompli

Il y a quelques jours encore, Benyamin Netanyahou pouvait sembler affaibli par son soutien sans fard à Mitt Romney, le candidat républicain contre Barack Obama. Aujourd’hui, le même Obama le soutient publiquement et bloque toute condamnation d’Israël au Conseil de sécurité de l’ONU.
La stratégie globale de Netanyahou est payante, même si elle est à courte vue. Il est parvenu à enterrer toute velléité de reprise du processus de paix par son intransigeance sur la poursuite de la construction des colonies en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, et en menant la vie dure à l’Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas.
Dans le même temps, la politique de Netanyahou du fait accompli développe le peuplement israélien dans les territoires occupés de Cisjordanie et de Jérusalem-Est de manière qu’il espère irréversible, tuant sans le dire la possibilité d’un Etat palestinien viable à côté d’Israël, une politique des « deux Etats » qu’il a fini par soutenir – au moins en paroles.

A force de discréditer les interlocuteurs modérés...

Pour autant, le premier ministre israélien sortira-t-il réellement gagnant de l’actuelle confrontation avec le Hamas, devenu paradoxalement son principal interlocuteur, par les armes ou par la négociation indirecte ? En discréditant ses interlocuteurs modérés, il ne lui restera plus un jour que les radicaux en face de lui.
La stratégie de la tension est aussi à rapprocher de la volonté de Benyamin Netanyahou de frapper un jour l’Iran et son programme nucléaire, avec ou sans le feu vert de Washington.

2 Le Hamas à l’heure du choix


A première vue, le Hamas avait des raisons d’être satisfait :
  • la révolution égyptienne a porté au pouvoir au Caire les Frères musulmans dont le Hamas est issu et dont il est proche :
  • ses rivaux du Fatah, expulsés de Gaza en 2007 mais toujours en contrôle de la Cisjordanie, sont au plus bas, discrédités par leurs échecs internes et externes. C’est au contraire l’image du Hamas guerrier qui monte, y compris en Cisjordanie.
Dans les faits, l’équation stratégique du Hamas est plus complexe, et le mouvement de la résistance islamique, historiquement opposé à la paix d’Oslo négociée par Yasser Arafat et qui a été un échec, doit définir à son tour ses relations avec l’Etat hébreu.

Mettre sur la touche le malheureux Mahmoud Abbas

S’il n’adhère pas officiellement à la politique des deux Etats, le Hamas est traversé par un débat sur un statu quo avec Israël, une rupture avec la destruction de l’Etat hébreu qui figure dans sa charte. Plusieurs fois annoncé, cet aggiornamento du Hamas ne s’est pas encore produit.
Si une partie de l’opinion palestinienne voit en lui le continuateur de la résistance, renforcé par l’envoi de missiles, même interceptés par le « bouclier » israélien, jusqu’à Tel Aviv, et glorifiant le sang des martyrs, il existe un autre courant de pensée qui ne voit dans ces roquettes qui pleuvent sur Israël qu’une fuite en avant sans autre résultat palpable que d’aggraver les souffrances des habitants de Gaza.
Pour l’heure, la confrontation permet au Hamas de renforcer son emprise sur les populations de la bande de Gaza, de mettre encore plus sur la touche le malheureux Mahmoud Abbas au moment où il va demander, le 19 novembre, la reconnaissance de l’Assemblée générale des Nations Unies. Elle permet aussi au Hamas de tester ses nouvelles alliances internationales.
Il sera toujours temps de redéfinir sa stratégie à l’heure de la sortie de guerre, quelle qu’en soit la forme.

3 La paix, grand perdant


Quand Israël et le Hamas s’affrontent, le grand perdant est nécessairement la paix. Non seulement parce que les armes ont la parole, mais aussi parce que les deux belligérants ont le même objectif pour des raisons diamétralement opposées : empêcher une paix basée sur un compromis historique dans lequel chacun ferait des concessions.
C’était la logique d’Oslo, en 1993, qui a permis la reconnaissance d’Israël par l’Organisation de libération de la Palestine d’Arafat, en échange de la reconnaissance du droit des Palestiniens à un Etat.
Mais l’erreur d’Oslo fut de renvoyer à la fin du processus les questions difficiles à trancher (frontières, réfugiés, etc.), au risque, ce qui fut le cas, de ne jamais arriver à ce stade.
Par où viendra donc la paix ? Il est plus facile de dire par où elle ne viendra pas...
  • pas de l’actuel gouvernement israélien, surtout avec le poids accru d’Avigdor Lieberman, l’allié électoral de Netanyahou, qui le dit haut et fort ;
  • pas du Hamas, qui ne veut pas d’une paix aux conditions qui seraient réalistes actuellement, même s’il peut négocier un jour un statu quo pacifique durable (paradoxalement, le négociateur d’un tel accord potentiel était justement l’homme dont l’assassinat ciblé par Israël a précipité cette guerre), préalable indispensable à un changement de climat ;
  • pas de l’Autorité palestinienne, qui est en fin de cycle et n’a plus guère de capacité d’initiative ;
  • pas de l’administration Obama, qui, tout en étant réaliste et consciente de la situation, n’a pas la volonté politique qui lui permettrait de peser réellement sur le conflit ;
  • pas de l’Europe, qui a depuis longtemps renoncé à son rôle pionnier sur la question palestinienne (déclaration de Venise il y a... trente ans !), et pas même de la France qui n’en a ni la capacité, ni la motivation malgré la promesse de François Hollande de reconnaître un Etat palestinien.
Il n’y a donc guère de raisons, pour reprendre le tweet de Charles Enderlin, de nourrir le moindre optimisme par rapport au conflit israélo-palestinien. Certainement pas tant qu’un nouvel élément, dans la donne régionale ou internationale, n’aura pas modifié dans le bon sens l’équation délétère actuelle.
En attendant, les Israéliens courent aux abris, les Palestiniens de Gaza meurent sous les bombes, les Syriens fuient leur pays et meurent en plus grand nombre encore, les Libanais s’inquiètent... Et l’impuissance internationale n’a jamais été aussi forte dans cette région du monde.

vendredi 9 novembre 2012

Lawrence d'Arabie

Thomas Edward Lawrence est essentiellement connu pour son action auprès des tribus arabes pendant la Première Guerre mondiale, ce qui fit de lui un héros presque légendaire et lui valut le surnom de Lawrence d'Arabie. I est probablement à l'origine des accords secrets conclus entre le résident britannique en Égypte, sir Henry Mac Mahon, et le chérif Hussein de La Mecque en 1916 ; il a poussé également à la révolte des Arabes contre les Turcs. Même si l'on minimise son rôle dans ce domaine, il n'en demeure pas moins qu'il fut l'inspirateur des actions militaires menées par les Arabes.(extrait encyclopédie universalis)


Le dernier jour de Lawrence d'Arabie (1989) par sunsetpresse

voir les 3 premières minutes

mercredi 7 novembre 2012

jeudi 18 octobre 2012

17 octobre 1961 : Hollande fait repentance

le Figaro

 Mis à jour

À l'aéroport d'Orly, l'expulsion d'un groupe d'Algériens ayant participé à la manifestation deux jours auparavant.
À l'aéroport d'Orly, l'expulsion d'un groupe d'Algériens ayant participé à la manifestation deux jours auparavant. Crédits photo : KEYSTONE/KEYSTONE France

Le chef de l'État rend hommage aux victimes d'une «sanglante répression».

François Hollande s'engage sur le terrain de l'histoire de la guerre d'Algérie, délicat entre tous pour les politiques. Le président a déclaré mercredi, dans un communiqué, que «la République reconnaît avec lucidité» la «sanglante répression» qui, «le 17 octobre 1961», à Paris, a coûté la vie à «des Algériens qui manifestaient pour le droit à l'indépendance». «Cinquante et un ans après cette tragédie, je rends hommage à la mémoire des victimes», a ajouté Hollande. C'est la première fois que la plus haute autorité de l'État engage la France sur ce sujet, même s'il ne va pas jusqu'à présenter des excuses.
Le président ne se hasarde pas à avancer un chiffre quant au nombre d'Algériens tués le 17 juin 1961. Cette question divise en effet les historiens. De façon plus étonnante, l'hôte de l'Élysée ne dit mot du contexte historique de ce drame. Polémique assurée, alors que le chef de l'État prévoit de se rendre en voyage officiel en Algérie en décembre.

Couvre-feu

En octobre 1961, la guerre d'Algérie dure depuis sept ans. De Gaulle est président et Michel Debré, premier ministre. Des négociations publiques ont lieu entre les émissaires de l'Élysée et le FLN. Dans le même temps, le FLN intensifie ses attentats en métropole - de même que l'OAS - pour faire pression sur les autorités françaises. Plusieurs centaines de policiers et de militaires ont été tués ou blessés par le FLN dans l'Hexagone depuis 1954. À Paris, la tension est extrême. Les policiers de quartier sont équipés de gilets pare-balles. Des sacs de sable protègent les commissariats.
Le FLN décide alors d'organiser une manifestation contre le couvre-feu dans la capitale. Passant outre à l'interdiction de la manifestation par le préfet de police de Paris, Maurice Papon, des milliers d'Algériens se rassemblent. La répression est sauvage et aurait fait entre 30 et 200 victimes.
Longtemps, ce drame a été perçu comme un épisode de la guerre d'Algérie parmi beaucoup d'autres et n'a pas rencontré un écho particulier dans la mémoire collective. Il en alla différemment à partir des années 1980 et, surtout, 1990.
En 1997, la condamnation de Papon pour complicité de crimes contre l'humanité conduit les médias à évoquer les autres zones d'ombre de son passé. Plusieurs élus de gauche, en particulier au PCF, réclament une reconnaissance publique du drame du 17 octobre 1961. Dès son élection en 2001, Bertrand Delanoë fait apposer une plaque reconnaissant les faits sur le pont Saint-Michel, lieu de la tuerie. Le 17 octobre 2011, au cours de la campagne présidentielle, François Hollande avait estimé que ce drame avait été «occulté des récits historiques» et qu'il était «important de rappeler ces faits».
Pour sa part, le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, demande à la France de présenter des excuses pour la guerre d'Algérie dans son ensemble. Une proposition de loi des sénateurs communistes, qui consacre le 19 mars 1962 comme journée du souvenir de toutes les victimes de la guerre d'Algérie, sera débattue au Sénat le 25 octobre et suscite l'opposition d'une partie des associations de rapatriés.

Hollande reconnait la répression sanglante du 17 oct 1961


17 octobre 1961 : une manifestation pacifique... par BFMTV

mardi 16 octobre 2012

Etat archipel de Palestine

Une carte est une représentation du monde. Le cartographe est donc un imposteur simplifiant le monde pour orienter un discours. Une carte politique représente les frontières et les capitales, rien de plus. Et une carte de la démographie s'en tient à représenter des densités de population. Et pourquoi ne pas pousser plus loin l'imposture jusqu'à l'invention d'un monde virtuel...
A partir des données du bureau de coordination pour les affaires humanitaires dans les territoires palestiniens occupés, Julien Boussac a imaginé une carte remplaçant Israël et les colonies juives par l'océan. Les terres émergées ne représente plus que le territoire palestinien de Cisjordanie.
Résultat, un archipel aux côtes découpées et aux myriades d'îlots isolés. Une imposture cartographique qui renvoie à un problème bien réel : La Palestine peut-elle vraiment devenir un Etat viable avec un tel émiettement   de son territoire ?

dimanche 30 septembre 2012

mardi 11 septembre 2012

c'est pas sorcier n°2 "Paris lumière: d’Haussmann au périphérique"

répondre aux questions de l'épisode 2  ( video en 3 parties)

 http://www.youtube.com/watch?v=ik8nv536EPM

 http://www.youtube.com/watch?v=5j9TjYARfLc

http://www.youtube.com/watch?v=AI12422PlUg&feature=fvwrel


source MLC - AI  Bouillante – AC Guadeloupe



Les grandes transformations de Paris débutèrent au …………………. siècle,

sous le règne de……………………………………. .


Quels sont les différents embarcadères (ou ……………………………..) de Paris?

1) ……………………………… - 2) ………………………………… - 3) ………………………………
4) ……………………………… - 5) ………………………………… - 6) ………………………………     


En 1850, Paris est entourée par :

¨ 1 mur                           ¨ 2 murs


Pour agrandir Paris, le préfet …………………………………….. décida de détruire

…………………………………………………………………………………………………………………. .

La population augmente alors de …………………………………… habitants.


Quel surnom lui donnera-t-on ? ………………………………………………………………….

Pourquoi ?  ………………………………………………………………………………………………….


Que fait-il pour améliorer la propreté de la ville?

…………………………………………………………………………………………………………………….

Avant, où rejetait-on les eaux usées de la ville ? ………………………………………….


Pour éviter les épidémies de…………………………………….…. dues à la mauvaise

qualité de l’eau, on construira des ………………………………..……………… et deux

………………………………………..……. pour amener de l’eau potable jusqu’à Paris.



Pourquoi place-t-on les réservoirs d’eau potable sur des collines?

………………………………………………………………………………………………………………….

Comment s’appelle l’inventeur de la  poubelle? ……………………………………….

A quoi servaient les ordures ménagères ?
…………………………………………………………………………………………………………………


Que construit-on pour l’exposition universelle de 1889?

…………………………………………………………………………………………………………………

Jusqu’au début du XXème siècle Paris est éclairé au ………………………………  .

Tous les soirs, on allume ………………………………………………………………………… .

Puis peu à peu  on  utilisera ……………………………………………………………………. .

Que met-on en service le 19 juillet 1900 ?

…………………………………………………………………………………………………………………

Les dernières fortifications de Paris seront  détruites à partir de ………… et

remplacées des immeubles, des écoles, des hôpitaux et par le boulevard

……………………………….. qui fait le tour de Paris.


Aujourd’hui la région Ile de France compte plus de …………….. millions d’habitants dont :
…………... millions au sein de la capitale.

…………... millions en banlieue et dans les villes nouvelles autour de Paris.

c'est pas sorcier Paris s'éveille

questionnaire Paris s'éveille

http://www.youtube.com/watch?v=EX2S27FHQHs
(source : MLC - AI  Bouillante – AC Guadeloupe)



Aujourd’hui,  Paris compte …………………………………………………. d’habitants ;

soit ………………%   de la population française.


Pourquoi les hommes de la préhistoire se sont-ils installés dans le bassin parisien ?

1)………………………………………………………………………………………………………………….

2)………………………………………………………………………………………………………………….


Quel est l’origine du mot Paris ?

…………………………………………………………………………………………………………………….


Comment s’appelait Paris au temps des gaulois?

…………………………………………………………………………………………………………………….


Quels vestiges romains trouve-t-on à Paris ?

…………………………………………………………………………………………………………………….


Quel est le premier roi qui s’installa à Paris ?

…………………………………………………………………………………………………………………….


Comment s’appelle la cathédrale construite sur l’île de la cité ?

…………………………………………………………………………………………………………………….


Comment s’appelle l’ancienne forteresse transformée en Palais qui

deviendra la résidence royale ? …………………………………………………………………..

Une  galerie permettait de rejoindre le château ……………………………………… .



Quelle est la particularité du Pont neuf ?

…………………………………………………………………………………………………………………
Henri IV aménage la ville et fit construire :

1) ………………………………………………………………………………………………………………

2) ………………………………………………………………………………………………………………

3) ………………………………………………………………………………………………………………

Qu’est-ce que la samaritaine ?

…………………………………………………………………………………………………………………

Que fait construire Louis XIV pour loger ses soldats blessés ?

…………………………………………………………………………………………………………………

Où a-t-on trouvé les pierres qui ont servi à construire Paris ?

…………………………………………………………………………………………………………………

Que trouve-t-on dans les catacombes ?

…………………………………………………………………………………………………………………

Avec le Mur des Fermiers généraux qui entoure  Paris au 18ème siècle 

la  population de la ville passe à …………………………. habitants.

Qu’est-ce-que la Bastille ?

…………………………………………………………………………………………………………………

14 juillet 1789: …………………………………………………………………………………………